Tout à commencer, l’été 1973, nous sommes en juillet, et cette année exceptionnellement, nous ne sommes pas partis en colonie de vacances. Je suis le troisième d’une famille de quatre enfants. Je passe mes journées avec mes copains de la résidence où j’habite et comme nous sommes au milieu de la foret, nous passons nos après midi dans une cabane que nous avons construit.
Ce jour là alors que je vais pour partir retrouver mes copains, ma mère me demande de bien vouloir aller jusqu’à l’épicerie qui se situe à trois kilomètres. C’est naturel que j’accepte d’y allé avant d’aller jouer. Comme tous les jours je suis vêtu d’un petit slip de bain rouge et de claquettes dans les pieds.
Je me mets donc en route et alors que je prends la petite route qui traverse la foret, un homme dans une voiture s’arrête à mon niveau et me demande la route pour aller à Germigny. J’essaye de lui expliquer, et fini par lui dire, j’y vais, si vous voulez je vous y emmène. Le Monsieur accepte et ouvre sa portière. Je monte dans la 204 et il reprend la route. Alors que l’on vient juste de redémarrer, le monsieur pousse un crie, et se tient la poitrine. Je suis mal, je ne sais pas ce qui lui arrive, il ralenti, s’engage dans un petit chemin dans la foret, il arrête son moteur, et m’explique qu’il est malade, à ce moment là il détache son pantalon et en sort un superbe sexe. Il me dit que pour calmer la douleur il me faut prendre en bouche sa verge et d’avaler ce qui va en sortir.
J’ai 12 ans, j’avoue que même si je sais que comme lui j’ai une bite entre les cuisses, cette dernière ne me sert qu’à faire pipi. Pourquoi ne pas le croire….
Je me penche donc et le prends en bouche, très vite je sens sa tige gonfler et devenir de plus en plus en dure, je le pompe, il me fait aller et venir en me tenant la tête avec sa main, et après quelques minutes, je le sens se redresser et lâcher un liquide blanchâtre dans ma bouche. J’ai du mal à tout avaler, il s’en écoule un peu, mais très vite je me reprends et lèche bien. J’avoue que le goût de ce liquide me plait bien, c’est doux, laiteux, vraiment très agréable. Alors que je vais pour me relever, il me demande de continuer et alors que je reprends ma fellation, je sens sa main baisser mon maillot de bain et me caresser entre les fesses. Là je ne sais comment réagir fasse à cette caresse qui elle aussi est très agréable, je ne vois rien, mais je sens bien qu’il m’a mis quelque chose de froid sur mon anus, quand sons sexe est redevenu bien dur, il m’oblige à me redresser et à me mettre à quatre pattes sur la banquette. Je fais ce qu’il me demande, je sens le bout de sa verge contre mon anus, c’est étrange, il pousse un coup et mon trou s’ouvre, je le sens m’écarter les muqueuses anales, j’ai mal, je pleure, il me fait mal, j’essaye de me détacher de lui, mais il m’enserre fortement alors que j’ai en moi toute la longueur de son membre en moi. Il ne bouge plus, et ma douleur se fait moins forte, mais j’ai encore mal, moi non plus je ne bouge plus, je n’ai qu’à le laisser faire… J’ai eu l’impression d’être resté dans cette position un long moment, quand je sens qu’il bouge et commence à se retirer de moi, j’ai mal, mais le fait de ce retrait me fait un drôle d’effet. Sans complètement sortir de moi, voilà qu’il se renfonce doucement, mais à chaque fois que son sexe fait marche arrière, je ressent une sensations comme je n’en ai jamais vécue. J’en arrive à ne même plus sentir la douleur que me procure son sexe, et comme ses aller retours en moi est de plus en plus rapide, je pousse des cris mais plus de douleur mais de plaisir.
Et alors qu’il pousse encore plus fort, il se bloque au fond de moi et je sens mon boyau être inondé d’un liquide chaud. Il se retire de moi, ouvre la portière de mon coté, me pousse, je suis comme anéanti et je ne réagis plus, je tombe de la voiture, il me jette mon maillot de bain et mes chaussures, démarre sa voiture et s’enfuie me laissant là nu.
J’ai mis du temps à reprendre mes esprits, je n’arrive pas à croire de ce qui vient de m’arriver, je me relève, et alors que je vais enfiler mon maillot
de bain, je sens ce liquide qui est en moi me dégouliner le long des cuisses et des jambes. Je n’ai rien pour m’essuyer, alors faute de mieux je prends des feuilles. Quand je suis rhabillé, j’ai une douleur atroce au niveau de l’anus, mais d’un autre coté c’était tellement bon que j’en oubli la douleur. Je vais jusqu’à l’épicerie, où je fais ma course et rentre chez moi. Tout le long du trajet, je regarde autour de moi, oui je recherche cet homme et sa voiture, car au fond de moi j’en ai encore envie.
Je suis ensuite retourné jouer avec mes camarades, sans rien dire, je n’en ai jamais parlé, ni à eux, et encore moins à mes parents. L’été s’est passé, mais chaque jour quand j’emprunter cette route, je n’ai qu’un souhait, retomber sur cet homme.
Ce qui est marrant c’est qu’à partir de ce jour là, je n’ai plus regardé mon père autrement car lui et ma mère étaient des adeptes de naturisme, et mon papa était toujours nu à la maison. A chaque fois que j’avais loisir de regardé son sexe, je pensais aussitôt à cet homme qui m’a fait prendre conscience de ce que je voulais maintenant vivre.
